Kystes ovariens traitement naturel

Kystes ovariens traitement naturel décrit le processus des kystes, conséquences possible sans oublier de proposer des traitements naturels. Dans cet article vous aurez la définition de kyste, les causes possibles, les symptomes, et les traitements possibles. Défilez juqu’à la fin.

Qu’est ce qu’un kyste?

Un kyste désigne une cavité (ou un sac) remplie de liquide, d’air ou d’une substance semi-solide. Il peut se former dans n’importe quelle région du corps y compris dans les os et dans les tissus mous. Le développement d’un kyste peut relever d’une production bénigne (non cancéreuse) ou d’un processus malin (cancéreux).

Qu’appel t-on ovaires?

Les ovaires, ce sont les gonades, organes de la reproduction, chez la femme. Au même titre que les testicules chez l’homme. Ils sont au nombre de deux, en forme de grosse amande. Situés de part et d’autre de l’utérus, à proximité des trompes de Fallope.

Kystes ovariens

Un kyste ovarien est une tuméfaction contenant du liquide présente sur l’un des ovaires ou les deux. Les ovaires sont situés à l’extrémité des trompes de Fallope, elles-mêmes reliées à l’utérus. Le kyste ovarien est le plus souvent bénin, mais sa présence à cet endroit est anormale. En effet, continuez la découverte de Kystes ovariens traitement naturel.

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Causes de Kystes ovariens traitement naturel

D’après plusieurs recherches scientifiques, il ressort que l’ovulation est la principale cause des kystes ovariens. Par contre, d’autres causes proviennent de:

  • reproduction cellulaire anormale,
  • reproduction cellulaire atypique qui peut entraîner la formation de kystes, en particulier de types dermoïdes et séreux.

Signes de Kystes ovariens

Un kyste de l’ovaire peut rester asymptomatique ou provoquer douleurs du bas du ventre, anomalies des règles, troubles intestinaux ou urinaires. Parfois, il donne lieu à des complications nécessitant une opération chirurgicale urgente ( torsion de l’ovaire, hémorragie dans le kyste, rupture du kyste, compression des organes du petit bassin).
Il faut noter que la présence d’un kyste de l’ovaire peut se traduire par divers symptômes dont:
  • des douleurs pelviennes (dans la partie inférieure du bassin) modérées, d’un seul côté du corps, donnant l’impression d’une pesanteur,
  • des anomalies des règles et en particulier des métrorragies (saignement génital survenant en dehors des règles),
  • une pollakiurie (envies fréquentes d’uriner avec émission de petites quantités d’urine) ou des troubles intestinaux (ex: constipation) en cas de compression des organes de la région pelvienne par le kyste.

Souvent, les kystes ovariens restent asymptomatique. On découvre sa présence lors d’un examen clinique ou d’une échographie abdomino-pelvienne pour un autre motif.

Parfois, le diagnostic est posé lors de la survenue d’une douleur aiguë et intense de la région pelvienne, signe d’une complication aiguë : torsion d’ovaire, hémorragie ou rupture du kyste

Traitement naturel kystes ovariens

Ce syndrome peut être atténué en choisissant des plantes aux propriétés hormonales. Ils ont fait l’objet ces dernières années d’études plus ou moins approfondies. La luzerne (ou alfalfa) est préconisée pour sa capacité à diminuer les taux sanguins de LH, de progestérone, d’androgènes et de prolactine.

Comment réguler les hormones, la clé de voûte?

  • Le grémil a une action antigonadotrope (elle diminue les sécrétions de LH, de FSH, d’androgènes et d’œstrogènes),
  • antiprolactine et anti-TSH, l’hormone stimulant la thyroïde.

Ces plantes sont donc indiquées pour les femmes présentant des taux anormalement élevés de LH et d’androgènes. À noter que si le grémil peut avoir des propriétés contraceptives chez la femme non atteinte de SOPK, il sera plutôt régulateur de l’ovulation chez celle atteinte du syndrome avec taux élevé de LH.

  • Le gattilier, quant à lui, permet de diminuer la prolactine chez les femmes qui présentent un taux anormalement élevé de cette hormone. Cela avec un taux de LH normal. Cette plante augmente en effet le taux de LH et de progestérone. Cette dernière étant déficitaire en cas de SOPK. Mais certaines femmes ne supportent pas le gattilier. Il faudra alors envisager une autre prise en charge. Au vu de ces constats, il est clair que l’utilisation de la phytothérapie ne peut se faire que suite à un bilan hormonal complet et sur conseil médical personnalisé, avec un suivi.

Une nouvelle facette du curcuma

Du fait de la prévalence croissante du SOPK, la recherche scientifique est actuellement très active sur le sujet. Ainsi que les études cliniques dans le monde entier. Le curcuma, par exemple, révèle une nouvelle facette parmi la multitude de ses actions biologiques déjà connues.

L’intérêt des phytœstrogènes

Les œstrogènes présents dans les végétaux se comportent comme les hormones de notre corps en se liant aux différents récepteurs d’œstrogènes présents dans l’organisme. Or, d’après les résultats d’études internationales, les phytœstrogènes ont une action pertinente dans le SOPK : ils sont capables de diminuer l’hyperandrogénie, la résistance à l’insuline et le poids des ovaires, et d’augmenter la fréquence d’ovulation.

Par exemple, la réglisse, la framboise et le soja contiennent de grandes quantités de certains phytœstrogènes comme la biochanine A, la daidzéine, la génistéine et la formononétine. Ces molécules leur confèrent des propriétés antiandrogéniques provoquant la diminution des taux circulants de testostérone chez les patientes souffrant de SOPK. Le gattilier contient également un certain nombre de phytœstrogènes, comme l’apigénine, la vitexine et la pendulétine, qui peuvent se lier aux récepteurs d’œstrogènes et agir sur le cycle féminin.

L’intérêt des phytœstrogènes du fenugrec a été confirmé par plusieurs études cliniques : en 2015 notamment, une équipe de chercheurs a suivi 50 femmes entre 18 et 45 ans atteintes de SOPK qui ont pris par voie orale un extrait de graines de fenugrec, enrichi avec 40 % de composés antidiabétiques, sur une période de 90 jours consécutifs.

Le but était de déterminer son efficacité pour réduire le volume ovarien et le nombre de kystes. L’extrait de fenugrec s’est révélé efficace pour améliorer les symptômes du SOPK, ainsi que le taux de LH, effet qui s’amplifiait à mesure que l’on avançait dans le traitement.

Autres traitements

Les autres plantes proposées contre les troubles de la ménopause sont le ginseng, l’igname sauvage ou yam (Dioscorea villosa), le trèfle rouge (Trifolium pratense), l’achillée millefeuille (Achillea millefolium) ou le gattilier. Enfin n’hésitez pas de nous joindre pour plus d’explications et traitement naturel efficace.

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